Depuis leur création, en septembre 2010,
la MUTAZA et l’ECODAIZ se sont fixé 6 objectifs majeurs. Qui sont :
1/ l’amélioration des techniques et conditions
de travail des agriculteurs ;
2/ l’approvisionnement de ses membres en
intrants et autres facteurs de production ;
3/ la collecte, le stockage, la transformation
et la commercialisation des produits ;
4/ l’achat ou location d’équipements
collectifs nécessaires à ses propres activités ;
5/ l’accroissement des ressources
financières et l’amélioration des conditions de vie des paysans;
6/ la transformation de la noix brute de
cajou à moyen terme.
Si la défense des intérêts des producteurs d’anacarde
est la principale raison de la naissance de la MUTAZA et de l’ECODAIZ, ces deux
structures ont étendu leur champ d’action aux autres cultures de la région.
Notamment vivrières. En clair, outre la production et la commercialisation de
noix de cajou (produit de rente et de spéculation), les deux organisations
paysannes s’intéressent aux cultures vivrières. Entre autres, le riz, le maïs,
l’igname, le manioc, les maraîchers…
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